Chaque mois, un instant est consacré au cours de notre réunion à la "minute culturelle". En mars Dieter nous a fait la lecture (et la traduction) de ce petit poème de Heine plein de fantaisie.
Das Fräulein stand am Meere
Und seufzte lang und bang.
Es rührte sie so sehre
der Sonnenuntergang.
Mein Fräulein! Sein sie munter,
Das ist ein altes Stück;
Hier vorne geht sie unter
Und kehrt von hinten zurück.
Heinrich Heine : Neue Gedichte,
Düsseldorfer Heine-Ausgabe , Bd. 2, S. 15 f.
La demoiselle debout au bord de la mer
soupirait longuement et inquiète.
Elle était tellement touchée
par le coucher du soleil.
Mademoiselle ! Restez de bonne humeur,
c'est une pièce jouée depuis des temps anciens ;
là-devant, il se couche
et par derrière, il revient.